Aujourd’hui on va parler d’un sujet sérieux : le syndrome de l’imposteur, qui touche tant d’auteurs.

Mais promis je vais essayer de garder mon côté fun !

Tu sais, cette petite voix dans ta tête qui nous dit qu’on n’est pas légitime, qu’on ne mérite pas notre place. Alors déjà, dis-toi que c’est quelque chose de plutôt commun dans notre milieu. Et même si ce n’est pas un terme médical, c’est bien une notion de psychologie et une perception assez répandue.

Et ce sentiment d’imposture peut vraiment nous miner le moral, à force !

Heureusement, il y a plein de choses qu’on peut faire pour se sentir mieux. L’objectif de mon article aujourd’hui, c’est de comprendre d’où ça vient, d’identifier les signes et puis te donner des pistes concrètes et positives pour y remédier. Car au bout du compte, il faut bien qu’on arrive à se faire confiance et à prendre plaisir dans notre passion pour l’écriture !

Allez, on se motive et on avance ensemble ? Le premier pas, c’est de reconnaître qu’on n’est pas tout seul dans cette galère. En route pour surmonter tous nos doutes !

Cet article fait partie du Challenge « 52 articles sur l’écriture en 52 semaines : mon challenge foufou ! » : clique ici pour en savoir plus !

Les petites voix dans notre tête : reconnaître les signes du syndrome de l’imposteur

Les doutes sur ta légitimité

Qui n’a jamais été titillé par ces petits doutes, hein ? Cette petite voix jugeante qui nous dit « mais de quoi tu te mêles là, de quelle légitimité tu te prétends ? Tu n’as aucune formation dans l’écriture ! De quel droit tu veux écrire un livre ? ». Ou encore « Est-ce que j’ai un minimum de talent ? Est-ce que j’écris bien ? Est-ce que mon histoire va plaire ? ». Parfois on a juste envie de se cacher tellement on se sent illégitime.

Ce sentiment de ne jamais être à la hauteur nous plombe le moral et nous fait douter de nos capacités.

Cette remise en question sans fin qui te ronge

Un des signes les plus fréquents, c’est de remettre en question en permanence nos compétences et nos connaissances. De ne pas se sentir assez qualifié ou expérimenté pour notre métier d’auteur, de ne pas se sentir à sa place. Pourtant, qui nous dit qu’on doit être un maître absolu ou avoir vécu mille vies pour raconter nos histoires ?

Et cette peur constante de se faire démasquer, que les autres s’aperçoivent qu’en fait, au fond, on ne sait pas vraiment ce qu’on fait ? Qu’on ne mérite pas notre place d’auteur ? Qu’on ne mérite pas nos succès d’auteur, si on a déjà commencé à publier ? Pourtant, ces réussites sont souvent dues à notre talent ET à notre travail acharné !

La minimisation de tes réussites

Ou bien, écrire pour toi, c’est facile, et tu te dis qu’il y a sûrement quelque chose qui cloche, tu te décrédibilises, tu dévalorises ton travail, et tu expliques ta « réussite » par d’autres facteurs extérieurs.

Tu te dis que tu as sûrement réussi grâce à la chance, grâce aux circonstances (le Covid qui faisait que les gens avaient du temps pour lire tout et n’importe quoi), grâce à tes relations.

Par exemple, je me suis déjà dit que le genre dans lequel j’écris est facile à écrire, que mon histoire est sûrement trop simple, trop légère, qu’elle n’est pas si originale…

Bullshit !

Les comédies romantiques, et la romance en général, sont des genres qui parlent de sentiments, d’émotions.

En quoi c’est facile à écrire ?

Mes lecteurs saluent souvent justement la profondeur de mes histoires, les différentes sous-couches que j’apporte.

Et puis chaque histoire est forcément originale, puisque chaque auteur est différent !

Voilà ce que j’arrive à me dire, quand je suis dans un bon jour…

Les effets dévastateurs du syndrome de l’imposteur

Gare aux dégâts si tu laisses le syndrome t’envahir trop longtemps ! En plus du stress et de la procrastination que peut engendrer ce sentiment d’imposture, tu peux rentrer dans un véritable cercle vicieux.

En effet, plus on doute de soi et plus on remet tout en question, moins on ose passer à l’action de peur de se planter. Résultat, on stagne et on n’avance plus. Et plus on n’avance pas, plus on en vient à douter et à se trouver des excuses !

Bref, le syndrome impacte directement ta créativité et ton efficacité. Difficile de faire preuve d’audace et de s’exprimer librement quand on est rongé par le stress de se faire démasquer. Notre confiance en prend un coup, et notre motivation aussi.

Et toujours aucune ligne d’écrite de ce nouveau projet…

À force de se cacher et de minimiser ses propres compétences, on finit par y croire soi-même. Alors sortons de ce cercle vicieux qui nous empêche de développer tout notre potentiel. Il est temps de reprendre confiance en toi et en ton travail.

syndrome imposteur auteur

Comprendre les origines du syndrome

Explorons maintenant les causes possibles du syndrome de l’imposteur, qui jouent directement sur notre confiance en nous, pour ensuite pouvoir y remédier plus facilement !

Les influences extérieures

Dès le début de notre carrière d’auteur, on est confrontés à des modèles inatteignables ou, du moins, c’est ce qu’on croit.

En effet, notre éducation nous a habitués aux œuvres abouties de grands auteurs, sans nous montrer les étapes de création. On imagine qu’il faut d’emblée écrire des chefs-d’œuvre, sans se douter que ces auteurs ont d’abord dû apprendre leur métier – et que leurs œuvres ont nécessité des heures de travail.

Et puis, il est facile de s’empêcher d’écrire ou d’y croire, quand on se compare à des écrivains multipubliés par exemple.

Les réseaux sociaux n’arrangent rien. Voir des auteurs qui viennent de sortir un livre, ou leur 4ème livre de l’année, alors qu’on n’arrive même pas à se décider à écrire un seul mot, ça peut être dur…

Le manque de confiance en soi

Outre les facteurs externes, nos propres doutes intérieurs peuvent aussi jouer beaucoup sur notre tendance à éprouver le syndrome de l’imposteur.

Pour certains, le manque de confiance en soi est tenace et remonte même à l’enfance. On a du mal à percevoir et à accepter nos propres forces, on est toujours enclin à minimiser nos qualités.

Cela peut venir d’un manque d’estime de soi, construit au fil du temps à force de ne pas toujours se sentir légitime. Lorsqu’on n’a pas appris à s’aimer soi-même tel qu’on est, il devient compliqué de se reconnaître comme capable.

Le besoin de contrôle

Un autre élément déclencheur possible du syndrome de l’imposteur est notre besoin de maîtrise et de contrôle. Lorsqu’on se lance dans l’écriture, une activité créative, donc par définition imprévisible, on a tendance à vouloir tout anticiper et tout maîtriser d’emblée.

Ce besoin de contrôle est encore plus fort, quand on débute dans ce domaine ! La nouveauté active naturellement notre peur de l’échec et de l’imperfection. On a tendance à se mettre une pression immense pour tout contrôler afin d’éviter tout faux pas.

syndrome imposteur 2

Surmonter le syndrome de l’imposteur : mes tactiques

Allez, il est temps d’y voir plus clair et de positiver ! Quelles sont mes tactiques pour contrer le syndrome de l’imposteur, issues de mes nombreuses lectures sur le sujet, ou de ma propre expérience ?

Dis-toi que c’est une bonne chose

Aline de The Bboost, qui aide les entrepreneurs, pense carrément que le syndrome de l’imposteur est une bonne chose parce qu’il agit en vrai garde-fou, et il évite qu’on prenne le melon ! Eh oui, sans aucun syndrome de l’imposteur, tu arrives à l’effet inverse : une confiance en toi telle que tu n’acceptes aucune critique et que tu ne cherches pas à t’améliorer.

C’est donc un sentiment que tu dois maîtriser, mais pas t’en débarrasser ! Il faut l’accepter comme un garde-fou, tout en évitant de se laisser entraver par lui. C’est ok, si ce n’est pas trop : pas trop violent, et pas trop souvent. Plutôt que de le combattre, on peut en faire un allié, trouver le positif pour s’améliorer toujours plus !

Développe ta confiance en toi

Apprenons à nous détacher des pressions externes dont je t’ai parlé juste avant, et à valoriser notre parcours unique !

Chacun a bel et bien des talents et des choses merveilleuses à offrir. Mais pour y croire, il faut souvent rebâtir patiemment cette confiance et estime en soi au fil des années, en acceptant de se voir tel qu’on est réellement : un être humain, avec ses forces ET ses faiblesses.

Il s’agit de développer son amour et son image de soi plutôt que de se dénigrer. Faire preuve d’honnêteté dans son évaluation personnelle, et reconnaître sa propre valeur. Chaque petit pas vers une meilleure assurance de soi permet de croire davantage en ses capacités. Il n’y a pas de recette miracle, mais en étant bienveillant envers nous-mêmes, on peut trouver la confiance nécessaire pour avancer.

Eh oui, être auteur implique aussi tout un travail sur soi-même ! Mais tu verras, c’est passionnant. Et peut-être qu’au détour de tes découvertes et apprentissages sur toi-même, ça aidera aussi ton écriture, tes idées, ou ta perception de tes personnages…

Arrête de te comparer aux autres

La comparaison aux autres contribue grandement aux doutes, comme nous l’avons vu…

J’aime beaucoup suivre des auteurs sur Instagram, mais si je suis en proie aux questionnements, si mon moral est un peu bas, si j’ai des difficultés, j’essaye d’éviter d’aller voir que tel ou tel auteur est en pleine « gloire », avec des centaines de commentaires sur le 4ème livre sorti cette année…

Oui, ok, je fais un peu une fixette, mais c’est un de mes talons d’Achille : me dire que je n’écris pas assez vite.

Mais j’ai appris à arrêter ce cheminement de pensées, et à me demander : Pas assez vite par rapport à quoi ? Aux autres ? Mais les autres auteurs ne sont pas moi, ils n’ont pas la vie que j’ai, le temps que j’ai, les projets que j’ai, et peut-être pas la même exigence aussi. Peut-être que j’ai besoin de temps pour mûrir mes histoires. Et alors ? Peut-être que toi tu peux corriger tout un roman bien plus vite que moi. Et alors ? Il y a quelqu’un pour compter les points, ou quoi ? J’étais pas au courant !

Mon conseil ? (et je n’ai rien inventé, c’est un conseil que l’on voit partout !) : arrêter de se comparer aux autres, et se comparer à soi-même. Ne pas se juger, mais se demander : Quelle est ma propre progression ? Qu’est-ce que j’ai accompli aujourd’hui, cette semaine, cette année ? Où j’en suis de mon rêve d’écrire, par rapport à l’année dernière ?

Fais une liste

Un autre excellent exercice pour combattre le syndrome de l’imposteur est de reconnaître ses compétences en tant qu’auteur. Prends le temps de faire une liste détaillée de toutes les qualités, de toutes les forces et de toutes les compétences que tu as pour ce domaine. N’oublie pas non plus de noter tes réalisations et accomplissements, aussi modestes soient-ils !

En écrivant puis en te replongeant dans cette liste, tu verras à quel point tu as de quoi être fier ! Ton parcours est déjà riche de talents et d’expériences. Quand tu douteras à nouveau, relis cette liste – elle sera comme un allié bienveillant qui te soutient ! Elle est là pour te rappeler combien tu es déjà légitime en tant qu’auteur. Pour aller plus loin, n’hésite pas à compléter et actualiser régulièrement cet inventaire, afin de suivre ton évolution.

Tu veux un exemple ? J’ai fait ce travail moi aussi, je te livre ici mes propres compétences, qui me servent en tant qu’auteure. Tu vas voir, il y en a certaines qui sont évidentes, d’autres moins ! Encore une fois, il ne s’agit pas de se comparer, mais de t’inspirer pour ta propre liste.

Et non, adorer manger du chocolat ne peut pas faire partie de ta liste… Quoique, si on cherche bien, ça doit être une compétence ! On a de l’imagination ou on en n’a pas ???

Alors donc, voici mes compétences, ce que je fais assez facilement ou ce dans quoi je suis bonne, pour mon activité d’auteure : je suis créative, j’ai de l’imagination, j’écris facilement, je suis capable de me concentrer longuement, j’ai la capacité de mener à bien de gros projets, j’ai envie d’apprendre tout le temps, je suis organisée, j’aime faire des recherches, je suis bosseuse, je suis indépendante, j’ai de l’humour, je suis à l’écoute des gens, j’ai de bonnes déductions sur les gens en général, j’ai de l’empathie, je suis observatrice, je suis pleine de minutie, j’adore lire, je sais bien communiquer (oralement ou par écrit), je suis curieuse.

Accepte de lâcher-prise

On l’a dit, on a souvent tendance à vouloir tout maîtriser en tant qu’auteur.

Mais la création littéraire demande justement de lâcher prise et d’accepter l’inconnu. D’accepter de se laisser bercer par notre créativité. La création ne peut pas être « le cube va dans la case carrée »… Non, c’est plutôt : « Je plante une graine en automne, je fais au mieux, et j’admire la plante qui pousse au printemps ! ».

L’apprentissage passe nécessairement par des essais – et des erreurs. C’est en acceptant de ne pas tout maîtriser du premier coup qu’on se libère pour progresser sereinement.

Il faut arriver à se faire confiance même lorsqu’on marche sur un terrain inexploré. Après tout, explorer de nouveaux horizons fait aussi partie du plaisir d’écrire ! Alors lâchons prise avec cette peur panique de ne pas tout maîtriser tout de suite.

Entoure-toi

Pour combattre efficacement le syndrome de l’imposteur, il est aussi important de savoir s’entourer de personnes ressources qui nous soutiendront de manière constructive. Rejoindre des collectifs d’entrepreneurs ou de professionnels, des groupes d’auteurs ou d’autrices, te permettra de créer du lien avec des collègues qui traversent les mêmes questionnements et doutes que toi. Tu ne te sens plus seul face à tes doutes, et vous pouvez échanger des encouragements.

Fais aussi attention à choisir ton entourage avec soin, en privilégiant ceux qui vont te pousser à aller de l’avant avec bienveillance. Et si tu ne peux pas choisir de t’éloigner des personnes négatives, pessimistes ou toxiques, alors, ne parle pas de ton projet à ceux qui te découragent systématiquement !

En trouvant un cercle de soutien bienveillant, tu te donneras les moyens de surmonter plus sereinement les épreuves inhérentes à notre passion. C’est un très bon allié pour regagner confiance en soi avec le temps.

Au passage, je remercie mon chéri et ma maman, qui ont toujours le petit mot pour me féliciter ou me rebooster !

Apprends des critiques

Recevoir des critiques fait partie intégrante du métier d’auteur ! Alors, plutôt que de les rejeter systématiquement par peur d’être jugé, et plutôt que de se braquer en étant sur la défensive, il vaut mieux apprendre à les accueillir de manière positive. C’est un excellent moyen de surmonter le syndrome de l’imposteur. On peut ainsi voir qu’on a toujours une marge de progression, et que la création est un cheminement infini.

Bien sûr, tous les commentaires ne se valent pas et certains peuvent manquer de bienveillance. Mais en identifiant les retours constructifs, on répond à notre besoin de progresser continuellement en tant qu’artiste, et on s’ouvre à des opportunités de s’améliorer.

C’est pour ça que je fais appel à des Bêta lecteurs, ainsi qu’à un Bêta lecteur professionnel, ces fans de comédies romantiques qui vont lire mes romans dans leur version presque aboutie (donc après le 1er jet et de la réécriture). Leur mission ? Me pointer les incohérences, les incompréhensions, les déceptions… Mais me dire aussi ce qui est réussi !

En me donnant des précisions sur les points à améliorer, à chaque roman, je suis constamment dans une démarche d’apprentissage. Et j’adore ça !

Concentre-toi sur tes motivations

Parfois, se focaliser uniquement sur ses doutes n’est pas la meilleure solution. Il vaut mieux que tu te raccroches aussi, et même surtout, sur tes motivations profondes en tant qu’auteur. Te rappeler ce qui te pousse à écrire malgré tout, ta passion pour la fiction et ton envie de raconter des histoires.

Ok, ça, c’est un bon petit rappel à moi-même, dans cette période un peu stressante de sortie de 2 nouveaux romans…

Se replonger dans les raisons qui t’ont poussé à te mettre à écrire, la toute première fois, va sûrement permettre de contrebalancer tes questionnements. Trouve du plaisir dans la pratique quotidienne de l’écriture, en te recentrant sur ce que tu aimes y faire. Explore. Détermine et garde en tête ton « pourquoi » : pourquoi auteur ? Pourquoi ce projet ? Pourquoi cette histoire-là ? Je te parle de la méthode des Cinq Pourquoi en détail dans l’article « Comment oser libérer l’auteur qui sommeille en toi« .

Ose passer à l’action malgré tes doutes

Enfin, le meilleur remède contre le syndrome de l’imposteur est souvent l’action. Plutôt que de laisser les doutes nous paralyser, il est temps d’oser sauter le pas malgré tout. On se concentre sur ses objectifs d’écriture, en se fixant des étapes concrètes, et on avance avec méthode et persévérance.

Bien sûr, les questionnements feront probablement encore partie du processus créatif, mais l’action a le mérite de donner une énergie positive. En se lançant coûte que coûte malgré la peur, on prend conscience que c’est possible, et que notre travail mérite d’aboutir.

Au lieu de se décourager ou de se comparer, concentrons-nous sur nos propres envies et sur ce que l’on a à offrir. Acceptons que le doute fasse partie intégrante du cheminement, mais restons résolument tournés vers l’avant. C’est en persévérant avec bienveillance envers nous-mêmes que nous pourrons nous débarrasser du syndrome.

Conclusion

Alors, prêt à dire adieu à ces satanées petites voix qui t’empêchent d’écrire sereinement ? Tu as désormais toutes les clés pour transformer ton syndrome de l’imposteur en un super-pouvoir créatif !

À travers ces conseils, tu as pu prendre la mesure de ta propre valeur et de ton talent. Le syndrome, c’est juste un mirage, si l’on accepte de croire en soi et d’avancer malgré les doutes. Une poussière dans le moteur. C’est surmontable, si tu choisis de te concentrer sur tes forces plutôt que sur tes faiblesses.

Il est grand temps de sortir ta plume préférée et de laisser couler l’encre sans modération. Persévère dans ton travail d’écriture chaque jour, avec assurance, détermination et motivation. Tu peux le faire, n’en doute plus !

Allez, en route et vive la création !

C'est parti mon kiki : passe à l'action !

Voici une liste (non exhaustive !) de ce que tu peux accomplir pour combattre ce fameux syndrome. Laquelle de ces 10 actions concrètes vas-tu choisir de réaliser dès aujourd’hui ?

1. Réalise une liste détaillée de tes compétences et accomplissements en tant qu’auteur

2. Rejoins au moins un groupe ou collectif d’auteurs sur les réseaux sociaux

3. Fixe-toi un objectif d’écriture hebdomadaire ou mensuel et tiens-toi à ton calendrier

4. Demande un retour constructif à une personne de confiance sur ton dernier projet

5. Note 3 raisons concrètes qui te motivent à écrire

6. Évalue de manière honnête et bienveillante tes points forts et points à améliorer

7. Identifie une personne ressource pour obtenir du soutien en cas de doute

8. Participe à un atelier d’écriture ou une formation pour booster ta confiance

9. Ose poster le début de ton récit sur les réseaux pour avoir des retours

10. Relis régulièrement ta liste de motivations pour combattre le syndrome

Bonus. Note tes petites victoires quotidiennes liées à ta pratique de l’écriture

Comment tu as surmonté le syndrome de l’imposteur en tant qu’auteur ? Partage tes propres astuces ou expériences dans les commentaires !